Raimondorama 16
Posted in Oulibouf on juillet 20th, 2015 by gerard – Be the first to commentOn retrouve ce jour les « Artisanes insanes de nos villages », toujours aussi « chaudes-bouillantes »! Merci Raimondo!
La boulangère et son mitron (version 1)
Salaud, disait la boulangère
En s’adressant à son mitron
J’ai appris par la charcutière
Qu’avec cette infâme Toinon
Tu m’as trompée sans hésiter,
Moi qui t’ai appris les façons
Que les amants doivent employer
Pour obtenir de doux frissons.
Je t’ai enseigné la manière
De combler par des doigts savants
Les seins ou le dodu derrière
Qu’une femme offre à un amant.
Nous avons vécu en levrette
Des instants de brûlant plaisir
Et souvent nous fîmes minette
Dont je garde le souvenir.
Ingrat, tu es vraiment ingrat.
Es-tu à ce point oublieux
De ce soir où tu exultas
Entre mes deux seins généreux ?
Et ce joli jour de printemps
Où nous découvrîmes tous deux
Les joies et le ravissement
D’un bien savoureux tête à queue ?
Le mitron se mit en colère
Quand il entendit ces propos,
Estimant que la boulangère
Avait vraiment très grand culot,
Elle dont la vie dissolue
Avec les commerçants du bourg,
Dans le village était connue
Ainsi que dans les alentours.
Que ce soit avec Sébastien
Le facteur ou le teinturier,
Le bottier ou le pharmacien,
Cette femme s’était donnée.
Déjà durant l’adolescence
Au collège puis au lycée,
Avec toutes ses connaissances
Elle avait souvent forniqué.
Aussi le mitron n’admis pas
Qu’on lui fasse une réflexion
Pour avoir commis un faux pas
Avec la mignonne Toinon.
Il décida donc nonobstant
De quitter la boulangerie
Pour aller faire son pain blanc
En d’autres lieux, d’autres pays
Il trouva d’autres boulangères,
D’autres jolies Toinon aussi
Et bien d’autres femmes légères
Qui vinrent embellir sa vie.
Toujours cette sacrée boulangère : La boulangère et son mitron (version 2)
Laisse-moi te sucer, disait la boulangère
A son jeune mitron qui œuvrait au fournil
Laisse-moi lutiner cette bite incendiaire
Qui me ravit les yeux et dont j’ai folle envie.
Laisse-moi caresser ces couilles attirantes
Que mes curieuses mains ont hâte de tâter
Laisse-moi leur offrir de ma bouche gourmande
Le généreux cadeau de mes plus doux baisers
Laisse-moi exciter de mes mains fureteuses
Tous les recoins secrets que mes doigts trouveront
Et qui t’apporteront la chaleur délicieuse
Sous l’effet bienfaisant de leur pénétration.
Pendant ces doux instants toi tu pourras palper
De mes seins généreux les contours séduisants
Ou les douces rondeurs d’un ravissant fessier
Que tes mains trouveront sous mon tablier blanc.
Nous atteindrons alors cette félicité
Qu’ensemble nous auront créée par nos ébats
Et toi tu jailliras dans ma bouche affamée
Et moi je frémirai à l’issue du combat.
LA BOULANGERE et LE MITRON (version 3)
Salaud disait la boulangère
Au mitron qui tâtait son cul,
Je pourrais être ta grand-mère
Et ton geste est bien incongru.
Vas donc caresser Marinette
En elle tout est harmonieux
Et sous les plis de sa jupette
Se cache un fessier généreux.
Que nenni ! répondit l’ado
Je suis follement amoureux
De la courbe de votre dos
Et de votre cul gracieux.
Entendant ce beau compliment
La boulangère fut touchée
Et releva en un instant
Les pans de son blanc tablier ;
Elle offrit deux fesses pulpeuses
Au regard de l’adolescent,
Dont les douces mains fureteuses
Se mirent alors en mouvement
Otant le linge vaporeux
Qui couvrait son intimité
Elle offrit un cul plantureux
A des jeux beaucoup plus osés.
Et c’est au cours d’une levrette
Que notre mitron extasié
Dans ces rondeurs bien grassouillettes
Fut en ce jour dépucelé
Toujours cette sacrée charcutière…
Ce jour-là au village le vent s’était levé :
Eole parcourait les rues de la cité ;
Arpentant les chemins, de son humeur badine
Il venait tourmenter la gente citadine.
Eole, nul ne l’ignore est un petit fripon
Qui aime à se couler parfois sous les jupons
Dénudant sans arrêt les cuisses fuselées
Ou les belles rondeurs d’un généreux fessier
C’est ainsi que j’ai vu en ce jour très venteux
De notre charcutière le gros cul généreux
Paré d’un mini slip en très fine dentelle,
Et les cuisses rayées de minces jarretelles.
En homme très galant j’aurai dû faire celui
Qui n’a pas remarqué ce qui s’était produit
Mais cette vision-là me fit un tel effet
Qu’à cette jolie femme alors, je déclarais :
« Madame je l’ai vu, oui j’ai vu votre cul,
Si beau, si généreux, si poupin, si dodu
Et je dois avouer que mes mains ont frémi
Tant de le caresser elles en avaient l’envie
Oui, je dois avouer que cette apparition
A troublé mon esprit tout en ébullition
Et mon cœur chaviré bat très fort en rêvant.
A toutes ces beautés dénudées par le vent.
Je n’ai plus qu’un désir, c’est de poser mes mains
Sur la très blanche peau de votre popotin
Et de pousser plus loin mes investigations
Jusqu’à l’intimité de votre précieux con. »
Monsieur, répondit-elle à ces tendres propos,
Je vous trouve impudent, mais ces très jolis mots
Me vont tout droit au cœur et bien qu’honnête femme
J’aimerais, il est vrai, éteindre votre flamme.
Venez donc je vous prie en un coin dérobé
Où nous pourrons jouir dans la tranquillité
De quelques bons moments de douces gâteries
Capables d’apaiser nos plus folles envies.
C’est ainsi que derrière une porte cochère
J’ai pu tâter le cul de notre charcutière.
Lily la buraliste
Lily vendait des cigarettes
Du tabac et des allumettes.
Les clients qui venaient la voir
Et se pressaient à son comptoir
Venaient certes pour acheter
Mais surtout pour la regarder
Car cette très jolie brunette
Aux grands yeux de couleur noisette
Avait un corps si ravissant
Qu’il faisait rêver le chaland :
Des seins qu’elle aimait exhiber
Dans un gracieux décolleté
Et un cul des plus rebondi
Que l’on contemplait ébahi.
Moi qui ne suis pas un fumeur
J’allais, assez souvent d’ailleurs,
Afin de m’éblouir les yeux
Dans ce magasin merveilleux.
Je me donnais une raison
Afin de faire diversion
Achetant sans nécessité
Des allumettes en quantité,
Si bien qu’au bout de quelques temps
J’en avais acquis tant et tant
Qu’alors l’idée me vint en tête
De confectionner des maquettes
Usant de ces fétus légers
Afin de pouvoir ériger
En des modèles assez réduits
Les grands monuments de Paris.
Puis un soir pour les contempler
Lily s’en vint me retrouver
Et en voyant la Tour Eiffel
Une idée s’éveilla en elle :
Elle ôta alors sa culotte,
Me présenta sa jolie motte
Dans laquelle sans hésiter
Ma queue vint se précipiter.
Lily gouta avec passion
Cette belle récréation
Même elle entrouvrit son bustier
Pour que je puisse caresser
Des tétons qui s’étaient dressés
Et elle n’hésita pas non plus
A m’offrir son merveilleux cul
Afin que je puisse au besoin
Y apporter un très grand soin.
Et c’est ainsi qu’avec Lily
Par la magie des allumettes
J’ai passé une folle nuit
Qui a bouleversé ma quéquette.
Raimondo – 2013
NB de l’auteur: En hommage à Jacques Villeret pour son rôle dans le Diner de Cons, qui a inspiré ce récit.
Stéphanie l’épicière
Pendant que son époux était au réassort
Elle prenait du bon temps avec le beau Victor
Elle, c’était l’épicière, la jolie Stéphanie
Et lui un beau garçon, un tout jeune apprenti.
Qui depuis de longs jours, soupirait en voyant
Les formes rebondies d’un beau buste charmant
Et celles bien charnues de fesses harmonieuses
Attirant les regards et les mains curieuses.
Cachés dans un recoin, étroitement serrés,
La ronde du plaisir ils avaient commencée,
Stéphanie ayant pris dans sa bouche vorace
Un sexe énamouré qui prenait de l’audace
Avant de s’immiscer dans cet antre secret
Et d’y pouvoir goûter un savoureux bienfait.
Ainsi, ils étaient là, l’un dans l’autre soudés
Attendant la venue de l’orgasme souhaité,
Se caressant la peau se faisant des douceurs
Excitant les envies de leurs corps en chaleur,
Par tous ces petits riens, par ces attouchements
Qu’avec avidité on échange entre amant.
Soudain se produisit un fait inattendu,
L’arrivée de celui que l’on n’attendait plus :
Le mari, obligé alors de constater
Que son épouse était en train de le tromper.
Il avait aperçu les deux globes charnus,
Et joliment replets d’un magnifique cul
Qu’il allait nonobstant se mettre à flageller
Pour châtier durement la conduite insensée.
Mais il lui vint alors une pensée soudaine
Qui le poussa plutôt à trouver d’autre peine,
En pénétrant d’un coup sans autre précaution
Cette partie du corps soumise à sa vision.
Comme il s’introduisait sans grand discernement
Stéphanie fit entendre un très long feulement
Car prise entre deux feux elle avait éprouvé
Un orgasme si fort qui l’avait bouleversée.
Cette histoire est réelle, je le puis garantir
Et chacun y trouva un immense plaisir,
Si bien que quelquefois la belle Stéphanie
Aime à renouveler cette belle harmonie.
Raimondo – 2014