Raimondorama 02
Posted in Oulibouf on septembre 20th, 2011 by gerard – 1 CommentDans sa série « Mes histoires à faire rougir une écrevisse », Raimondo se donne ici à fond la fesse… Oups pardon! Je voulais dire « à fond la caisse »!
Elle avait pris le pli dès son âge enfantin
De faire sucer son con par ses petits copains ;
Elle s’était aperçu que semblable caresse
Apportait du plaisir et beaucoup d’allégresse
Et, ne voulant jamais se montrer une ingrate,
Elle savait à son tour de ses mains délicates
Apporter du bonheur à tous ses compagnons
Par de doux va et vient qui donnaient le frisson.
Hors, il advint qu’un soir dans un sombre recoin,
Alors qu’elle procurait à son petit voisin
De ses agiles doigts sa part de gâterie
Vint à passer par là l’austère Sidonie,
Une femme bavarde, haïe dans la cité
Elle qui cancanait à longueur de journée,
Répandant alentours ses affreux commérages
Qui troublait ses voisins et la paix des ménages.
Cette immonde vipère s’en fut près des parents
Raconter les exploits de leurs petits enfants
Et bien sûr la nouvelle fut très mal accueillie
Par des parents pensant que leurs petits chéris
Etaient bien élevés et vivaient comme il faut
Se comportant toujours comme des angelots.
Il fallut donc sévir et les contrevenants
Furent alors soumis à divers châtiments
Qu’en telles circonstances des parents avisés
Pour le bien des enfants savent imaginer.
A quelque temps de là, rentrant à la maison
La fillette entendit derrière une cloison
La voix de sa maman quémandant au plombier
De venir caresser son fastueux fessier,
Et faire également une belle minette,
Une feuille de rose et autres galipettes.
Entendant ces propos sans ambiguïté
Il vint à la fillette de malignes idées
Qui poussèrent maman à retrouver raison
Suspendant aussitôt toutes les punitions.
Raimondo
Le proverbe le dit : une femme à lunettes
Est instinctivement une femme à quéquette.
Je me suis demandé si l’adage était vrai,
Et pour le vérifier pour savoir si jamais
On pouvait se fier à cette affirmation,
J’ai enquêté parmi toutes mes relations,
Ces dames du quartier qui avec élégance
Doivent porter des verres pour guérir leurs carences.
La jolie boulangère, m’a dit d’un ton bourru :
Vous n’êtes qu’un cochon, qui a le feu au cul,
Désormais vous irez acheter votre pain
Dans une autre boutique ou un grand magasin.
J’ai poursuivi ma quête auprès de la mercière
Qui me toisa vraiment, et de façon altière
Elle me montra la porte et dit d’un ton mauvais
Qu’elle ne voulait plus me revoir désormais.
Sans me décourager, j’allai au grand bazar
Où la femme était là derrière son comptoir.
Mais cette digne dame à l’air pourtant posé
Me gratifia alors de noms très orduriers,
Noms que la bienséance, ici ne permet pas,
De vous les répéter tellement ils étaient bas.
J’ai contacté bien sûr des cas révélateurs
De femmes revêtues de ces verres correcteurs
Myopes, hypermétropes, souffrant de presbytie,
Toutes ayant à l’œil la moindre maladie
Que ce soit la crémière, la femme du boucher,
Ainsi que la belle-mère de notre quincailler,
Toutes avaient des lunettes mais n’ont jamais osé
Répondre à la question qui leur était posée.
Il me restait alors, parmi mes connaissances
Une femme sensée, remplie de clairvoyance :
C’était la pharmacienne, une femme avisée
Qui avait étudié en maintes facultés,
Mais malheureusement, avait une vision
Ne nécessitant pas la moindre correction.
Mais j’osais me confier à elle néanmoins
Et cette aimable femme ne me repoussa point.
Je ne puis cher Monsieur, répondre pour les gents
Qui doivent sur leur nez mettre ces instruments,
Mais soyez assuré, bien que jamais j’en mette
Je suis une championne au jeu de la quéquette ;
Venez donc avec moi au fond de l’officine
Afin que je m’occupe un peu de votre pine,
Et vous verrez ainsi qu’avec des yeux très bons
On baise allègrement avec délectation.
Cette charmante femme baissant mon pantalon
Commença par me faire une belle succion
Et voyant le miracle par elle occasionné
Elle se retourna afin de quémander
Le membre turgescent qui allait l’enculer.
Elle hurla de bonheur en recevant ce gland
Qui provoqua en elle un grand contentement,
Et pour mieux prolonger l’effet de ces caresses
Je tâtais de mes mains ses généreuses fesses,
Puis en les dénudant j’atteignis ses deux seins
Qui furent titillés avec le plus grand soin.
La pharmacienne avait, il faut bien l’avouer
Un fier tempérament qu’on se doit d’admirer.
Durant de longs moments nos deux corps ont frémi
Aux mille positions qu’engendraient nos envies
Et à ces va et vient source de volupté
Apportant à nos corps tant de félicité.
Il fallait en finir, elle me raccompagna
Et pour tous les clients, me dit à haute voix :
Revenez donc demain j’aurai certainement
Reçu du fournisseur votre médicament.
Raimondo
Deux veuves étaient au champ.
En cette fin d’été était venu le temps
De faire les récoltes et stocker pour l’hiver
Les légumes et les fruits qu’avait produit la terre.
Ces femmes silencieuses
A l’aide d’une houe, toutes deux besogneuses,
Elles tiraient du sol cette solanacée
Qu’introduisit chez nous Monsieur de Parmentier.
Et penchées sur la terre
Tout le jour elles allaient pour un maigre salaire
De sillon en sillon, emplissant leur cabas
De ces pommes de terre qui alors poussaient là.
Soudain l’une des deux
Trouva un spécimen assez volumineux
Qui fort la stupéfia et fit s’exclamer
Tant cette pomme là avait pu l’étonner.
Mon dieu s’écria-t-elle !
Ce légume de forme assez exceptionnelle
Me rappelle il est vrai de mon époux défunt
Il faut bien l’avouer, son sexe aux poils châtain.
Il était donc si gros ?
S’étonna son amie qui n’en croyait pas mot ;
Aussi gros, certes pas, je dois bien l’avouer
Mais pour sûr aussi sale, je puis te l’assurer.
Raimondo
Merci Raimondo, mais là, après avoir lu tout ça, je dois vraiment aller à con-fesse!